Hiraoka S. Uearha

.:Hiraoka Shigeaki Uearha:.

.: CART£ D'ID£NTIT£ :.

NOM

Uearha

PR£NOM

Hiraoka Shigeaki

ÂG£

22 ans

NATIONALIT£

Japonais (père) & Thaïlandais (mère)

GROUP£

HIDDEN

DON

Tremblement de terre. Hiraoka peut faire danser la terre à sa guise, du moins il le pourrait s'il savait comment utiliser ses pouvoirs. Pour l'instant, c'est encore très superficiel puisque la terre tremble lorsqu'il est en colère ou qu'il a peur, sans qu'il ne choisisse l'intensité. Ainsi, s'il est poursuivi et que son esprit se met à faire trembler la terre, il pourrait tout aussi bien faire s'éffondrer toutes les habitations autour de lui tout comme il pourrait n'y avoir qu'une légère secousse ne provocant aucun dégàt. Hiraoka ne contrôle absolument pas ses pouvoirs. Ceux-ci s'enclenchent souvent lorsqu'il se trouve dans des situations délicates, mais il n'est pas en sécurité pour autant car lui aussi pourrait se faire enssevelir. Lorsque son don s'active, notre jeune japonais se retrouve sous l'influence d'énormes migraines. Ses maux de têtes se terminent lorsque la terre finit sa danse.

.: PORTRAIT ROBOT :.

D£SCRIPTION PHYSIQU£

Très peu d'asiatiques vivent ici, dans la Bulle. Mais il y a en a tout de même. Ils sont minoritaires, certes, mais ils sont tout de même présents. Hiraoka fait partie de cette minorité, d'ou le fait qu'il ait un physique un peu "hors norme" selon la plupart des habitants de cette société. Ces gens sont connus pour être petit, avoir les yeux bridés et un teint de peau étrange que l'on dit jaune. Et bien, notre jeune homme n'est pas tout à fait comme cela.

Lorsque vous vous trouvez à côté de lui, il n'est pas rare de se sentir petit vu son mètre quatre-vingt sept. Hiraoka est quelqu'un de mince, pas de par sa physionomie mais grâce aux différents sports qu'il pratique. Dans ceux-ci, il faut compter la boxe, la course à pied ainsi qu'une activité qui n'est autre que la danse qu'il pratique trois voire quatre fois semaine. Il lui arrive fréquement de faire des abdos chez lui sans oublier certains autres sports dont il vaut mieux ne rien dire. Son corps est donc très bien entretenu puisqu'en plus de faire de l'exercice, il mange correctement. Cela étant dit, il lui arrive tout de même de s'avaler un paquet de bonbons ou des frites bien grasses. Notre jeune japonais possède un petit atout dû à sa différence ethnique : il est métisse. Son teint de peau est très beau, comme la plupart des asiatiques. Dans la rue, il n'est pas rare que l'on se retourne vers lui. Il en a pris l'habitude et cela a eut un effet sur son caractère. Aujourd'hui, il adore se faire regarder lorsqu'il est en rue et il en va de même quand il passe devant son reflet, il tourne toujours son regard vers celui-ci pour s'admirer.

Un miroir, c'est tout ce qu'il lui faut pour recoiffer ses cheveux noirs. Les plus longs atteignent presque ses épaules. Ses oreilles sont elles aussi cachées par sa chevelure ainsi qu'une partie de son front, mais ce n'est que lorsqu'il ne passe qu'un coup de peigne, sans plus. Lorsqu'il prend son temps, il met souvent un peu de gel. A ce moment, on peut dire qu'il a une coupe assez "fashion". Hiraoka a les yeux bridés mais ça, vous le savez maintenant. Ceux-ci sont marrons, ce qui est une couleure banale quand on y regarde de plus près. Ils ne sont donc pas exceptionnels. Il a un nez et une bouche des plus banales et tout cela se trouve dans un visage ovale, ce qui est encore une fois, d'une grande normalité.

Les japonais étaient reconnus pour être très extravagant au niveau vestimentaire et ça n'a pas beaucoup changé pour Hiraoka. Il s'habille un peu comme il veut, selon ses humeurs. Il est fréquent de le voir porter des couleurs vives. Ainsi, un pantalon vert avec un t-shirt jaune avec des dessins bleu, c'est tout à fait normal pour lui mais il lui arrive tout de même d'être "normal" bien qu'à ce moment, il a toujours un petit quelque chose en plus. Il peut-être habillé en tenue de ville avec une ceinture fashion par exemple, pour se différencier des autres, encore une fois. Hiraoka est aussi très porté sur tout ce qui est accessoire vestimentaire tel que des mitaines, des bonnets, des berrets et bien d'autres. Il possède une collection de lunettes de soleil et de chaussures impressionante. Dernière chose importante à savoir, il aime beaucoup se faire des mèches dans les cheveux. Elles sont souvents différentes puisqu'il aime les harmoniser avec ses vêtements.

D£SCRIPTION PSYCHOLOGIQU£

Très extravagant au niveau vestimentaire, ce n'est pas le cas dans son caractère. Calme, ce n'est pas pour autant qu'il est timide. Hiraoka ne se jette tout de même pas sur le premier venu pour ouvrir une conversation mais lorsqu'il lui arrive de discuter avec un inconnu, sa voix a toujours la même tonalité et il ne ressent pas le besoin de trouver une excuse bidon pour arrêter la discution et il ne rougis pas. Il y a une dernière chose que l'on remarque souvent chez les grands timides, c'est qu'ils ont souvent la tremblote après avoir conversé avec autrui. Ce jeune homme ne connait pas non plus cela, il est donc tout à fait à l'aise en public comme en privé.

Comme tout les êtres humains, Hiraoka est curieux. Il aime se tenir au courant, s'informer, comme il le dit si bien. Ce n'est tout de même pas maladif chez lui ainsi si il y a un accident et qu'il est dans les parrages, il va aller y jeter un coup d'oeil mais il ne va pas se mettre à harceler quelqu'un pour savoir ce qu'il s'est produit ici. Têtu et obstiné, il tient ça de sa mère qui elle aussi, l'était. Lorsqu'il a quelque chose en tête, il vaut mieux le laisser faire que d'éssayer de le dissuader car cela n'aura servi à rien. Il vous dira oui sur le moment et retardera la date du moment fatidique et c'est le même pour les décisions. S'il a décidé de dire non à quelqu'un, il restera sur son non, même s'il sait qu'il a tord puisqu'il déteste ça, avoir tord.

La gentilesse fait partie de lui mais il a, lui aussi, des limites. Hiraoka accepte beaucoup, beaucoup trop même. Il lui est déjà arrivé, tout de même, de laisser ses démons remonter à la surface pour se mettre au travers de certaines personnes pour les arrêter. On lui a déjà dit pourtant, qu'il était trop gentil, mais il ne sait changer ça. Ce n'est pas faute d'avoir éssayer, mais rien n'y fait. Hiraoka n'aime pas faire de mal aux autres, ce qui n'est pas une chose facile quand on possède un don tel que le sien. Il lui est déjà arrivé d'ensevelir quelques personnes sous des débrits et même d'en tuer, mais toujours contre sa volonté. Il suffit qu'il élève la voix sur quelqu'un pour avoir mal à la tête et créer une secousse dans un rayon de quelques mètres seulement, chose qui n'est pas très pratique.

Quelque peu narcissique, Hiroaka a un réel besoin de se faire regarder voire admirer lorsqu'il est en rue. C'est sans aucun doute son plus grand défaut et il en est lui-même conscient mais c'est presque vital pour lui. Il en va de même lorsqu'il passe devant un miroir ou une fenêtre, il tourne toujours son regard vers son reflet pour voir si tout va bien, vu qu'il est très coquet pour un garçon. Ce narcissisme fait qu'on le prend souvent pour quelqu'un d'hautain et d'arrogant, mais ce n'est absolument pas le cas. Ce n'est qu'une image, un reflet de sa non-timidité. Cela dit, il paraît ausi très sûr de lui, ce qui n'est qu'une mauvaise interprétation car lorsqu'on le connaît, on se rend vite compte que c'est quelqu'un sur qui on peut compter. Hiraoka est très protecteur lorsqu'il aime quelqu'un et bien qu'il soit calme, il lui arrive de s'énerver aussi pour un rien et ce, surtout lorsqu'il de mauvaise humeur.

D£RRI£R£ L'£CRAN

PR£NOM

ÂG£

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AVATAR

AUTR£

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.: UN P£U D'HISTOIR£ :.

G£N£S£

Je ne sais pas grand chose de ma naissance mise à par que ça fait vingt-deux ans et des poussières que je suis né et qu'il neigeait, ici, à Sydney. Ma mère ne m'a jamais rien dit de plus, tout comme mon père. Mes parents possédaient une petite maison en dehors de la Bulle. Ils n'avaient pas été infectés, du moins mon père car ma mère, inconsciemment, avait contractée le virus. Dès ma naissance, le sang des démons coulait déjà dans mes veines mais, selon les examens, j'étais normal. Les infirmières avaient de l'embarras pour ma survie, vu que j'allais sortir de la Bulle.

Leurs inquiétudes étaient fondées, mais tout se passa très bien.

J'eu une enfance des plus normale, avec des parents attentifs. Un peu trop à mon goût même, mais cla n'allait pas durer vu que j'étais infecté. Six ans, cela faisait six ans que j'étais né. Mes nuits étaient perturbées par un cauchemard qui allait se répéter pendant deux mois et dix-huit jours exactement avant une date que je n'oublierais jamais. La virus commençait à faire sa place, et certains symptômes apparaissaient. Il m'arrivait fréquement d'avoir mal à la tête, pas un simple mal de tête. J'étais sujet à d'atroces migraines qui ne faisaient qu'amplifier ainsi qu'une fièvre qui atteignit la barre des quarante et un. Je n'allais pas bien du tout, mais ce n'était que le commencement.

Deux mois passèrent et enfin, mon corps reprit le dessus. La maladie disparut. Mes parents furent très attentif à moi les quinze premier jours avant de se dire que tout allait de nouveau bien. Trois jours, trois jours tout à fait normaux. Du moins, de la journée. Une fois que la nuit tombait, je refaisait ce cauchemard. Deux mois et dix-huit jours après mon sixième anniversaire, je ne pourrait jamais l'oublier. Cette nuit, cette dix-huitième nuit, je fus à nouveau hanté par ce cauchemard, celui que je faisait depuis que j'avais eu six ans. Mon sang, le sang des démons me donna se pouvoir cette nuit. Je l'ai utilisé sans en être conscient, seulement par peur, celle que me procurait ce cauchemard. J'ai fait danser, j'ai fait trembler la terre cette nuit. Je me suis retourné je ne sais combien de fois dans mes draps, et j'ai fait s'éffondrer la maison cette nuit. Le pire n'est pas là. Mon pouvoir... je suis l'assassin de ma mère. Une poutre est tombée dans le lit de mes parents, ne laissant aucun espoir à la femme qui m'a donné la vie, celle dont j'ai été le bourreau, cette fameuse nuit.

Aucun pardon ne fut donné ce jour là. Mon père m'a automatiquement désigné comme le responsable de cet accident. Pourtant, nous n'étions même pas encore au courant que j'en étais la cause. Nous n'avions plus de maison mais un ami à mon père a accepté de nous loger jusqu'à ce qu'il en trouve une nouvelle. Nous avons déménager dans notre nouveau "chez nous" quand j'eu huit ans. J'ai très vite vu mon paternel sombré dans l'alcool, ce qui engendra des excès de violence. Il lui arrivait souvent de me frapper, même sans raison. Notre vie allait ressembler à ça jusqu'à ce que j'atteigne l'âge de quatorze ans.

Park Yui Kaneda n'est autre que mon meilleur ami, bien qu'il est un an et demi de plus que moi. Je le connais depuis que j'ai trois ans, ce qui fait un petit bout de temps. Il habitait à deux rues de chez moi, nous nous voyons donc très souvent si pas tout les jours. Aujourd'hui, il est au courant de mon don, ce pouvoir que je refuse d'accepter vu qu'il a causé la mort d'un être chère à mes yeux. Il en va de soi que cette non-acceptation est à l'origine de ce contrôle si instable, de mon pouvoir. Bref, ce jour ou j'ai osé tenir tête à mon père, Park m'avait donné un bébé chien. Ce chiot venait de la portée du sien. Je m'en souviens comme-ci c'était hier. J'étais rentré avec ce petit labrador noir chez nous. J'ai joué toute l'après-midi avec jusqu'à ce qu'il rentre.

"Quesque c'est encore que ça p'tit con. ! Tu ramènes des animaux à la maison sans m'en parler maintenant !"
"Mais, papa. C'est Park qui m"
"Ta gueule ! J'en veux pas, tu vas le rendre tout de suite sinon..."
"Sinon quoi !?! Tu vas le tuer !?!"
"Mais quelle bonne idée ! Tu ne devras même pas te bouger ainsi !""

Je n'eu même pas le temps de dire non que l'animal se trouvait déjà dans ses bras. Il se dirigea ensuite vers la salle de bain, il avait l'intention de le noyer sans aucun scrupule. Park me l'avait offert et j'avais bien l'intention de le garder, ce chien. D'un bond, je sautai sur mon père qui s'éffonra sur le sol, lachant le labrador qui partit rapidement se cacher dans un coin. Il l'avait vu mais moi aussi. Il se releva et s'approcha doucement du chien avant que je ne mette devant. Je ressemblais à une étoile vu la position de mes membres. Je fixai cet homme violent, mon père, dans les yeux avant de lui dire, sûr de moi.

"Tu ne le toucheras pas !"
"Dégages ! Ou c'est toi que je tue !"
"Non !"
"Dégages, t'fais pas l'poids contre moi p'tit con !"

Nous haussions le ton tout les deux, sans qu'aucun de nous ne décident d'arrêter. Après quelques minutes, mon père s'avança rapidement avant de me jeter sur le sol d'un coup de bras. L'animal aboyait tandis qu'un cri sortit de ma bouche, mais ça n'avait aucun rapport avec ce chien. Une migraine atroce m'était apparue comme ça, d'un coup. Mon paternel se retourna vers moi mais il reprit rapidement son activité. Il l'atrappa, lui qui était coincé dans ce coin, et partit dans la salle de bain. J'entendis l'eau couler mais j'avais tellement mal la tête que je ne savais bouger. Je l'entendis hurler une dernière fois. Quelques secondes après, ce fut mon tour et à cet instant, la terre se mit à trembler. L'intensité fut d'abord très faible mais au fur et à mesure que je criais, elle augmentait jusqu'à ce que... je ne m'en souviens plus en fait.

Une semaine plus tard, je me réveillai à l'hopital. Selon les infirmières, j'étais un miraculé vu la catastrophe. Une dizaine de maisons s'étaient écroulées et une quinzaine étaient en mauvaises états, mais avec quelques travaux elles seraient comme neuves. Cette fois, je savais que j'étais la cause de cette catastrophe. Je me souvenais du toit qui s'était écroulé tout comme la terre s'était mise à trembler suite à mes cris. J'avais tué une vingtaine de personnes dont mon père et ce chiot, sans oublier ma mère quelques années auparavant. La famille de Park m'accepta gentiment chez elle. J'allais vivre jusqu'à mes dix-huit ans chez eux. Ensuite, je partis vivre dans la Bulle avec Park. Nous avions remarqué que nous avions une attirance l'un pour l'autre et nous finîmes par sortir ensemble.

Aujourd'hui, nous vivons ensemble dans un petit appartement qui se trouve dans la Bulle. Je ne m'accepte pas encore très bien tandis que Park, lui, n'a aucun problème avec son homosexualité. Il m'a permis de tirer un traît sur mon passé, mais je n'utilise pas pour autant mon pouvoir. Du moins j'éssaye de ne pas l'utiliser mais c'est parfois difficile vu que je ne le contrôle absolument pas. Pourtant, je sais que si c'était le cas, je serais un atout pour la WHC, mais je ne sais pas ce qu'ils endurent là-bas. Je préfère donc rester dans l'ombre, mais qui sait, je rencontrerais peut-êt quelqu'un qui pourrait m'aider...

Rebienvenue alors Razz

Je te souhaite donc la Rebienvenue !

Rewelcomeuh ! Wink

Rebienvenue Smile

Bonne continuation pour la suite Wink

J'ai fini ma fiche & merci à vous tous Very Happy